Togo

Une petite filière

pour une belle histoire

Le premier déplacement de l'équipe Chocolatiers Engagés au Togo a eu lieu en avril 2021.

Ce fut l'occasion pour les artisans de découvrir la filière togolaise et les différents acteurs qui la compose (Comité de Coordination des Filières Café et Cacao - CCFCC, coopératives de producteurs, ONG ADE, Délégations de l'UE, autorités, ChocoTogo...).
Il faut savoir que le Togo est certes un pays producteur de cacao mais sa production est marginale vis à vis des autres pays exportateurs. En effet, avec ses 10000 tonnes de cacao par an, il est bien loin derrière le premier pays producteur au monde, la Côte d'Ivoire et ses 2 millions de tonnes de cacao annuel.

Cette semaine, riche en rencontres, a permis de mettre en avant le potentiel du cacao togolais, qui à l'heure actuelle rencontre les mêmes difficultés que ces voisins africains : vieillissement des producteurs et des plantations, des arbres peu productifs, des producteurs non formés aux bonnes techniques agricoles, peu ou pas de fermentation du cacao donc des fèves qui ne sont pas qualitatives et qui ne peuvent pas être valorisées au moment de la vente.
Le premier déplacement de l'équipe Chocolatiers Engagés au Togo a eu lieu en avril 2021.

Ce fut l'occasion pour les artisans de découvrir la filière togolaise et les différents acteurs qui la compose (Comité de Coordination des Filières Café et Cacao - CCFCC, coopératives de producteurs, ONG ADE, Délégations de l'UE, autorités, ChocoTogo...).
Il faut savoir que le Togo est certes un pays producteur de cacao mais sa production est marginale vis à vis des autres pays exportateurs. En effet, avec ses 10000 tonnes de cacao par an, il est bien loin derrière le premier pays producteur au monde, la Côte d'Ivoire et ses 2 millions de tonnes de cacao annuel.

Cette semaine, riche en rencontres, a permis de mettre en avant le potentiel du cacao togolais, qui à l'heure actuelle rencontre les mêmes difficultés que ces voisins africains : vieillissement des producteurs et des plantations, des arbres peu productifs, des producteurs non formés aux bonnes techniques agricoles, peu ou pas de fermentation du cacao donc des fèves qui ne sont pas qualitatives et qui ne peuvent pas être valorisées au moment de la vente.

À l'issue de cette semaine d'immersion sur place, un premier protocole d'accord a été signé entre le Club Chocolatiers Engagés et le CCFCC. L'objectif est de lancer en fin d'année 2021, le premier centre de traitement post-récolte du Togo sur le même modèle que ce qui a été fait au Cameroun entre Chocolatiers Engagés et le CICC Cameroun. 

La presse en parle...